Il faisait beau
Il faisait beau, grand soleil
Le lieu était bien choisi
On a joué au mini golf
On a mangé une glace au Bief
On est parti se promener.
On a trouvé une prairie verte,
Grasse, cotonneuse sous le ciel bleu
On s’est assis en cercle.
Je leur ai dit qu’on allait vite quitter la maison de Marbisoux.
Que depuis Borzée elle et moi on ne s’entendait plus
Que c’était un choix d’adultes qui souffraient beaucoup.
Qu’ils n’étaient pour rien dans ce choix
Je leur ai dit qu’ils n’avaient rien choisi là dedans
Qu’ils allaient subir une décision d’adultes
Que j’étais un papa loup, libre mais protecteur de sa meute
Que j’aurais tant voulu ne plus les bousculer par ma vie
Je leur ai dit que la vie est parfois dure
Mais que c’est la vie, qu’il faut s’y battre
Rester debout et courir devant
Surtout ne pas courir après
J’ai pleuré,
J’ai été le seul à pleurer
Je ne sais qu’en penser.
Je leur ai dit mon énergie, ma force
Pour garder leur école, leurs amis
Pour nous trouver une nouvelle tanière
A nous, rien qu’à nous sans dépendance
Ils m’ont parlé, de la cabane au fond du jardin
Du coq, de la friteuse, de la télé.
De ce qu’on pourrait reprendre
De ce qu’il faudrait laisser
Je leur ai dit que ces 4 dernière années
J’avais compris ce que c’était d’être père
Que je ne l’avais pas fait seul
Que cela aussi il fallait le respecter.
On s’est relevé,
On s’est mis en route,
On s’est donné la main à 4.
Le lieu était bien choisi
On a joué au mini golf
On a mangé une glace au Bief
On est parti se promener.
On a trouvé une prairie verte,
Grasse, cotonneuse sous le ciel bleu
On s’est assis en cercle.
Je leur ai dit qu’on allait vite quitter la maison de Marbisoux.
Que depuis Borzée elle et moi on ne s’entendait plus
Que c’était un choix d’adultes qui souffraient beaucoup.
Qu’ils n’étaient pour rien dans ce choix
Je leur ai dit qu’ils n’avaient rien choisi là dedans
Qu’ils allaient subir une décision d’adultes
Que j’étais un papa loup, libre mais protecteur de sa meute
Que j’aurais tant voulu ne plus les bousculer par ma vie
Je leur ai dit que la vie est parfois dure
Mais que c’est la vie, qu’il faut s’y battre
Rester debout et courir devant
Surtout ne pas courir après
J’ai pleuré,
J’ai été le seul à pleurer
Je ne sais qu’en penser.
Je leur ai dit mon énergie, ma force
Pour garder leur école, leurs amis
Pour nous trouver une nouvelle tanière
A nous, rien qu’à nous sans dépendance
Ils m’ont parlé, de la cabane au fond du jardin
Du coq, de la friteuse, de la télé.
De ce qu’on pourrait reprendre
De ce qu’il faudrait laisser
Je leur ai dit que ces 4 dernière années
J’avais compris ce que c’était d’être père
Que je ne l’avais pas fait seul
Que cela aussi il fallait le respecter.
On s’est relevé,
On s’est mis en route,
On s’est donné la main à 4.
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