mardi, mai 31, 2005

Sans tabac


Aujuord'hui, c'est la journée de lutte contre le tabagisme. J'ai beaucoup de mal personellement à vivre cela sereinement. Mais c'est vrai qu'actuellement la sérénité n'est pas fort (Phénomène classique d'altération).

Alors hier sur les radios, dans les journeaux c'était haro sur les fumeurs !
Le Théma d'Arte était meme consacré à cette dure lutte contre le tabac.

Alors ok :
- fumer n'est pas bon pour la santé, je le savais bien avant que cela soit affich8é en gros sur chacun des paquets de cigarette que je fume. (J'ai repris la clope depuis 15 jours).
- enfumer les autres n'est pas respectueux, il faut lutter activement contre le tabagisme passif.

Mais, sutout n'oublions pas que la recherche du plaisir dans la vie est le meilleur gage de survie. Comme le disait Jean-Paul II "Hors du plaisir point de salut". (En l'écrivant je ne suis plus sur qu'il est vraiment dit cela)

Alors, ok, le crapotage d'une clope c'est un plaisir minimimaliste, celui d'une pipe, d'un cigarre, d'une chicha là on sort clairement du geste compulsif pour entrer dans la dimension de la saveur des temps longs...

Justement pour mon récent anniversaire, j'ai reçu 5 cigarres Cohiba... de Cuba et une Chicha. Croyez-vous qu'il s'agisse d'amies qui me voulaient du mal en me distribuant du poison ? Je n'y crois guère.

Si la réalité de la Chicha vous est peu connue je vous conseille le site :
http://ncv23.free.fr/utiliser.htm

En conclusion pour aujourd'hui :

Vive la chicha et les plaisirs partagés

vendredi, mai 27, 2005

Stop

Mapirle conseille au lecteur qui désire essayer de comprendre ce qui va suivre de lire préalablement le billet précédent.

Mon mail-missile a croisé une bombe atomique / Stop / Ma collègue, Jana a été licenciée / Stop / Je nique ces diseurs-de-lendemains-qui- chantent / Stop / Pour moi, la manière dont on fait les choses restera toujours plus importante que les objectifs visés aussi progressistes soient-ils / Stop / Stop / Stop

Bonne nouvelle, l'Eté est là. Ce soir je vais passer ma première nuit à dormir dehors, dehors, dehors..2.

mardi, mai 24, 2005

La blanche hermine

Ma mie dit que c’est folie
D’aller faire la guerre au front.
Moi je dis 6que c’est folie
D’être enchaîné plus longtemps.

Voilà un extrait d'une chanson d'ambiance...
Ce soir j'ai dégoupillé une grenade-mail-collectif-envoyé-à-l'ensemble-de-mes-collègues toute mon équipe...

Humeur guerrière ce soir...

Mon astrologue m'a dit un jour que j'étais comme un taureau. J'ai besoin d'une prairie où brouter tranquillement (et de quelques vaches autour de moi ajouta-t-elle malicieusement). J'ai besoin d'une cloture pour marquer mon territoire. Quand un intrus, un danger s'annonce, je baisse d'abord l'échine pour ne pas le voir arriver. Je nie le problème. Quand le danger est trop près, je fonce et quand je tiens au bout de ma corne je ne lache plus...

Disons que ce soir je me suis servi de mon mail comme d'une corne... La suite dans un prochain billet...

Je vous laisse avec la blanche hermine entendue justement aujourd'hui à la radio...

LA BLANCHE HERMINE

J’ai rencontré ce matin,
Devant la haie de mon champ
Une troupe de marins,
D’ouvriers, de paysans
Où allez-vous camarades,
Avec vos fusils chargés ?
Nous tendrons des embuscades,
Viens rejoindre notre armée.

La voilà la blanche Hermine,
Vivent la mouette et l’ajonc !
La voilà la blanche hermine,
Vivent Fougères et Clisson !

Où allez-vous, camarades,
Avec vos fusils chargés ?
Nous tendrons des embuscades,
Viens rejoindre notre armée.
Ma mie dit que c’est folie
D’aller faire la guerre au front.
Moi je dis que c’est folie
D’être enchaîné plus longtemps.

Ma mie dit que c’est folie
D’aller faire la guerre au front.
Moi je dis que c’est folie
D’être enchaîné plus longtemps.
Elle aura bien de la peine
Pour élever les enfants.
Elle aura bien de la peine
Car je m’en vais pour longtemps.

… Je viendrai à la nuit noire
Tant que la guerre durera.
Comme les femmes en noir,
Triste et seule, elle m’attendra.

… Et sans doute pense-t-elle
Que je suis en déraison.
De la voir, mon cœur se serre,
Là-bas, devant la maison.

… Et si je meurs à la guerre,
Pourra-t-elle me pardonner
D’avoir préféré ma terre
À l’amour qu’elle me donnait ?

… J’ai rencontré ce matin,
Devant la haie de mon champ,
Une troupe de marins,
D’ouvriers, de paysans.

lundi, mai 23, 2005

Moi zazou ... ?

Je vous parlais la semaine dernière de ma famille élective.
Je comparais cette famille à ma famille de sang.

Mon père est fils unique, ma mère a un frère.
J'ai été dimanche à un repas de famille.
On fêtait les 60 ans d'André le frère de ma mère,
Mon unique oncle.

Au départ de la fête André se lance dans un exercice périlleux,
il présente une par une la cinquantaine de personnes réunies ce jour là.

Arrivé sur moi, il me décrit comme le zazou de la famille.
...
Et bien moi, cela m'a fait sacrément plaisir.

Vive cette reconnaissance tardive ! ! !

Vive les zazous ! ! ! !


Y'a des zazous

Jusqu'ici sur Terre
Un homme pouvait être
Blanc ou noir ou jaune
Ou rouge et puis c'est tout
Mais une autre race
Est en train d'apparaître
C'est les Zazous, C'est les Zazous...
[Un vocal qui monte jusqu'au amygdales
Avec un veston qui descend jusqu'au genoux]
Les cheveux coupés jusqu'a l'épine dorsale
Voila le Zazou, voila le Zazou
Y a des Zazous dans mon quartier
Moi je le suis déjà à moitié
A votre tour un de ces jours
Vous serez tous Zazous comme nous
Car le Zazou c'est contagieux
Ça commence par un tremblement
Qui vous prend soudain brusquement
Et puis en plus des hurlements
Si vous rencontrez un jour sur votre passage
Un particulier coiffé d'un fromage mou
Tenant dans ses doigts un poisson dans une cage
C'est un Zazou, c'est un Zazou
Si votre épicier vous dit : " j'ai du gruyère
Mais malheureusement il ne reste que les trous "
Ne supposez pas qu'il fuit de la cafetière
Il est Zazou, il est Zazou
Y a des zazous dans mon quartier
Moi je le suis déjà à moitié
Un de ces jours ça vous prendra
A son futur gendre avant-hier ma concierge
Disait : voyez vous, ma fille est un bijou.
Elle est encore mieux que si elle était vierge.
Elle est Zazou, Elle est Zazou
Et en prenant le train j'ai vu le chef de gare
Qui m'a dit : Mon cher, je suis plus cocu du tout
Je suis quelque chose de beaucoup plus rare.
Je suis Zazou, je suis Zazou
Y a des zazous dans mon quartier
Moi je le suis déjà à moitié
Un de ces jours ça vous prendra
A la société devant payer sa dette
Devant la guillotine Gégène il dit j'm'en fout
Y a déjà longtemps que j'ai perdu la tête
Je suis Zazou, je suis Zazou
Avec une mondaine de la place Pigalle
Mon ami Léon a fait les 400 coups
Ça lui réussit car pour ses 25 balles
Il est Zazou, Il est Zazou
Y a des zazous dans mon quartier
Moi je le suis déjà à moitié
Et à mon tour un de ces jours
On finira par m'amener
Dans un asile d'aliénés
Entre zazous, on s'y retrouvera
Car c'est fou ce qu'on rigolera
Quand sous les douches on chantera comme ça
Repris - notamment - par Brigitte Fontaine

jeudi, mai 19, 2005

Tentative de l'impossible



Tentative de l'impossible, c'est le titre du tableau de Magritte que vous voyez ici, tentative de l'impossible. Sur ce tableau, Magritte se dessine dessinant son modèle. C'est en quelque sorte, la création qui se créé. C'est une sacrée mise en mouvement, mise en abîmes surtout .

Mise en abîmes qui chez moi fait référence à ma volonté :
- d'aller vers l'autre,
- de me dire,
- de m'exposer,
- de rencontrer dans l'intimité.

Je me défini parfois comme un dévoreur d'intimité. J'aime rencontrer vraiment l'autre. Eviter de me laisser scotcher sur les "Ca va ? Oui ça va ! Et toi ça va ? Oui ça va !"

J'ai créé autour de moi un 1° cercle. Peu importe la fréquence des rencontres, on arrive toujours à l'essentiel ! C'est ma famille choisie ! C'est ma famille tout court. Famille qui me dessine autant que je la dessine.

Ce type de rencontres/retrouvailles est chouette. Je crois que la vie de pas mal de gens est légère. Ou plutôt devrais-je dire, le regard que certain(e)s de mes ami(e)s portent sur leur vie est léger.

C'est vrai d'autre fois c'est plus lourd, les choses à entendre sont plus dures, parfois j'en suis réduit à dire non, stop, je ne veux/peux plus écouter... Parfois moins courageusement dans ce cas là, je m'éloigne sans rien dire.

Se dire également car cela aide souvent l'autre à le faire.

Mise en confiance, résonnances, vibrations. Trouver ce qu'on veut vivre, être libre, donner, prendre, recevoir, vibrer.

Tout cela est important pour moi, mais ce n'est pas choses aisée. En relisant mon billet d'hier je tiens à transformer le duo amour - humour en trio : amour - humour - désespèrance. Mais laissons parler le poète...

Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force

Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit

Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix

Et quand il croit serrer son bonheur il le broie

Sa vie est un étrange et douloureux divorce

Il n'y a pas d'amour heureux

Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes

Qu'on avait habillés pour un autre destin

A quoi peut leur servir de ce lever matin

Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains

Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes

Il n'y a pas d'amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure

Je te porte dans moi comme un oiseau blessé

Et ceux-là sans savoir nous regardent passer

Répétant après moi les mots que j'ai tressés

Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent

Il n'y a pas d'amour heureux

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard

Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson

Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson

Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson

Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare

Il n'y a pas d'amour heureux

Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur

Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri

Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri

Et pas plus que de toi l'amour de la patrie

Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs

Il n'y a pas d'amour heureux

Mais c'est notre amour à tous deux

Aragon

Tentative de l'impossible exprime le peintre, désespérance exprime le poète. Et l'humour au milieu ajoute Mapirle car...

c'est la politesse du désespoir.

mercredi, mai 18, 2005

Les ages de Mapirle

Ce 18 mai 2005, 35 ans la vie de Mapirle

1 - 11 ans
Vie en fatrie dans la ferme.
Vie protégée du Monde extérieur
Vie à Louvil (Loup-Ville) Camps de base

11-18 ans
Vie en Pension à Saint Amand
Vie de communautés, bandes de copain,
Vie de fraternités étendues
Vie Sportive, 2 minutes pour courrir 800 mètres

18-26 ans
Vie de couple,
Vie d'étudiant,
Naissance de Mapirle
Vie d'engagements, recherche du sens
Vie spirituelle, quête de la trascendance

26-30 ans
Vie de naissances
Mathilde, Théo, Simon
Naissance à un autre moi
Vivre des pulsions de mort
Séparation

30-35 ans
Me vivre fragile donc vibrant
Exhalter, déprimer
Prendre soin de moi et... accepter le Lithium
Regarder la vie avec Y
Me vivre père hébergeur
Laisser la chance se poser sur ma vie et m'irriguer
Lâcher prise sur les questions du sens
Entretenir mes vibrations.

35 - xx ans
Je me mets dans les pas de...
- Léo Férré d'abord et toujours :
"Il importe que le mot amour soit rempli de mystère
et non de tabou, de pêché, de vertu, de carnaval romain
des draps cousus dans le salace et dans l'objet de la
policière voyance ou voyeurie"


- et Cioran encore...
"L'être idéal ?... Un ange dévasté par l'humour !"

En route de vers de nouvelles aventures...

vendredi, mai 13, 2005

Vendredi 13 - Live


J'avais pas fait gaffe...

Une semaine que Théo et Simon me parlent de leur visite programmée de La Monnaie à Bruxelles, une semaine qu'ils me parlent des loges, des balcons, de la Castafiore.

Deux jours que j'ai pu prendre mon vendredi pour accompagner les classes de mes ptits gars à l'Opera...

Ce matin grève des trains...
Tout est annulé.

Et oui "journée d'action" à la SNCB, en fait cela veut qu'ils sont en grève... Et quand ils travaillent, ils ne sont pas en action ? Quel coming out !

Vous me direz qu'il ne faut pas ramener des conflits sociaux à des considérations personnelles. moi je vous répondrais que ce type d'action participe au climat général d'une Wallifornie centre de coordination mondiale de la grève.

Alors Théo et Simon, désolé, j'avais pas fait gaffe qu'à la SNCB, chaque jour est potentiellement un vendredi 13 !

jeudi, mai 12, 2005

Vendredi 13



Mapirle sera au théatre Mercelis le samedi 14...
Si le vendredi 13 le laisse tranquille !

L'hymne du blogger - Super

Super

Super, super je surfe sur internet
J'ai la tête comme une pastèque
Mais c'est bien, c'est bien
J'ai la terre entre les mains

Je veux parler aux canadiens
Je me connecte et c'est très bien
Je veux savoir tout sur les chiens
Ou le menu d'un végétarien

J'ai qu'à cliquer et le monde s'ouvre
15 ou 20 pouces tout l'univers

Et si j'ai très envie d'amour
Que j'veux mater les plus beaux culs
Ou même encore des scenes bestiales
Où tout s'mélange et c'est normal
J'ai qu'à cliquer et le monde s'ouvre.

Super, super je surfe sur internet
Super
J'ai la tête comme une pastèque
Mais c'est bien, c'est bien
J'ai la terre entre les mains

Vous mes amis proches ou lointaints
Chinois belges ou américains
On se dit tout c'est si facile
De s'épancher cest qu'du doigté
Salut voisin ca fait longtemps
Que j'tai pas vu t'as l'air tout blanc
J'suis désolé, j'peux pas t'causer
P't'être une aut'fois J'crois qu'on m'attend

Super, super je surfe sur internet
Super
J'ai la tête comme une pastèque
Mais c'est bien, c'est bien
J'ai la terre entre les mains

Louis Ville


Louis Ville en solo



10 mai : festival paroles et musiques à
Saint Etienne (1ère partie d’H.B. Thiéfaine)
11 mai : café mizik, Lyon
12 mai : festival Barathon, Asylum café, Besançon
12 mai : café du soleil, Saignelegier Suisse
27 mai : le bouchon, Pagny sur Moselle
http://www.louis-ville.com/

mercredi, mai 11, 2005

BHV

Désolé pour mes lecteurs non-belges (s'ils existent) mais ce billet va tomber dans le travers de la "private-joke-belgo-belge."

Ce maintenant j'entendais Laurette, notre ministre de la Justice, spécialiste de la justice par profession et par mariage. Elle s'exprimait sur le dossier BHV qui risque de faire tomber (oh pas de haut !) notre gouvernement fédéral. Voir www.lalibre.be et www.lesoir.be.

Voici que que ces trop fameuses initiales m'ont inspiré :
BHV

Béotiens
Hautement
Volatiles

En France - pays qui la fâcheuse tendance à vouloir avoir raison avant les autres (et qui pour une fois nous montre la voie) - les initiales de BHV sont plus connues sous la forme :

Bazard de l'
Hôtel de
Ville

Et pour continuer dans les bonnes nouvelles, la "mise au frigo" du dossier BHV va nous permettre de nous attaquer à un vrai dossier... les Jeux Olympiques au départ de Dixmude.

Bonne journée, belges présents et à venir !

Fred le flamand francophone !

mardi, mai 10, 2005

Cultiver son jardin

Jardin de Fred et Y (vue "d'ensemble")

Jardiner. Mettre ses mains dans la terre. En tant que fils de paysans et arrière petit fils de paysans, arrière arrière petit fils de..., je pourrais vous écrire l'opus du retour aux sources... à la terre.

Et bien non ! Bien qu'habitant en pleine campagne (cambrousse) je me définis plus comme un citadin... Ok, à l'usage, je crois néanmoins qu'élever des enfants à la campagne est plus sympa mais je n'y peux mes night shops me manquent !

Ces derniers jours pas mal de travail au jardin, planter des vignes (fruit du travail de Mapirle), des dalhias, des potirons, des lupins. Finalement c'est chouette, c'est une sorte de dialogue, de rencontre avec la nature. Pourvu que tout cela pousse !



Jardin de Fred et Y ("détail" cognassier)

jeudi, mai 05, 2005

Louis Ville


Je vous ai parlé de mes retrouvailles avec Arno la semaine dernière. Je rend compte que que je ne vous ai pas encore parlé de Louis Ville. Louis Ville je l'ai découvert dans une petite salle des fêtes à Rêves charmant village pas très loin de chez moi. Je me retrouvais là un peu par hasard. Il y avait 3 chanteurs de Ce soir là est Louis Ville terminait.

Il m'a fait tout de suite penser à Arno.
Ecoutez-le :
http://www.louis-ville.com/images/musiques/goutte.spl http://www.louis-ville.com/pages/hotelpourri.html

De retour chez moi, j'ai été voir son site et je me suis rendu compte qu'il faisait parfois les premières parties d'Arno... Comme c'est étrange ! ! !

Alors repérez ses prochaines dates de concert et... allez le voir, Mapirle vous le recommande c'est du concentré d'énergie !







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mardi, mai 03, 2005

Ricard en mai... et ne plus s'arrêter !


Voici une pub pour le ricard.
Voici un temps où on se refusait rien comme argument publicitaire

Quand je pense qu'aujourd'hui il n'est plus possible de fumer ni de boire sans être culpabilisé par des avertissements mortifères. La lecture de ces arguments me névrose et cela me donne... encore plus envie de fumer et b8oire.

Vive l'été qui vient, s'en va et reviendra.
Vive les nuits à dormir dehors,
Vive les aperos pastis prolongés,
Vive les nouvelles rencontres,
Vive les pipes fumées allongé dans l'herbe.

Cela fait du bien de lever les yeux et de regarder un peu moins son nombril !

Merci à Baud qui m'a transmis cette pub.

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